29 janvier 2014

La théorie du genre à la sauce Najat.


Najat-Vallaud-Belkacem, à qui l'on pose pas mal de questions en ce moment, ne sait pas quoi faire de plus pour mériter son salaire et surtout donner l'impression qu'elle est utile à Son Altesse.
Je n'écris pas Majesté, il faut au moins en avoir l'air.
Le journaliste du Figaro Yves Thréard  posait presque la même question que moi, à savoir ce qu’elle pensait du rôle de première dame et aussi, pour elle si prompte à défendre la veuve, mais pas l'orphelin, ce qu'elle pensait du comportement de son patron.
Ce sont des questions auxquelles elle ne répondra pas.
Mais elle nous a réinventé la théorie du genre ou comment oublier ce qui différencie la femme de l'homme.
On dirait un règlement de comptes vis-vis des hommes, car elle a dû, je suppose, combattre pour arriver à ce poste à responsabilité(s).
Mais voilà, dès l'enfance, on sait que l'on est un garçon ou une fille, et c'est tant mieux, nous avons des différences notables, physiologiques et psychologiques qui nous différencie pour la vie entière.
En famille, entre frères et sœurs, il n'y a pas de raison de mélanger les genres, et ceux qui veulent ou qui sentent leur masculinité ou leur féminité savent le montrer et le faire comprendre dès leur plus jeune âge.
On sait quel sport ou quelles relations nous nous attirent, l'éducation se fait en grandissant.
Si l'on veut modifier le comportement d'un enfant, il faut en changer le contexte et l'environnement. Une famille aisée et sans problème financier aura plus de facilités pour apprendre à l'enfant d'autres valeurs que l’inquiétude ou la peur du futur.
Ce que l'on veut maintenant faire, c'est enlever notre libre-arbitre, celui que l'on a acquis au fil des millénaires et qui construit notre personnalité.
Ce n'est parce qu'on a obligé une petite Najat il y a trente à jouer à la poupée, qu'elle a vécu dans une famille marocaine où l'homme est tout puissant (C'est faux? dites-le moi), qu'elle doit reconstruire l'éducation française qui est bien plus égalitaire que ce qu'elle a connu enfant.
Elle est arrivée à cinq ans en France, et sa famille n'a pas derrière elle des générations de scolarité à la Jules Ferry.
L'égalité à l'école existe depuis longtemps et on n'a pas besoin de refaire des lois inutiles qui ne font qu'attiser les différences d'opinion.
Il y avait plus d'égalité dans les classes et dans les écoles il y a trente ans, même sans mixité, que maintenant où la diversité des cultures a inversé la donne.
Ce serait à ce niveau-ci qu'il faudrait intervenir, ce n'est pas aux professeurs de défaire ce que les parents ont construit dans la tête de leurs enfants.
Il y a déjà bien assez de dégâts comme cela depuis que le divorce est devenu monnaie courante, que les enfants voient leur parents non plus comme des modèles, mais comme des personnes normales parfois paumées, qui ne savent pas où ils vont.
Alors, dans tout le capharnaüm qu'est devenue l'école, laissons-lui son rôle principal, réapprendre au moins nos enfants à communiquer, à lire et à écrire.
Rien que cela, ce serait  un retour vers le passé qui serait un progrès.

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