Attendez demain que je fasse des photos, car je n'ai pas eu le temps pour l'instant, travail oblige...Nous étions cet après-midi sous l'observatoire, en tout cas, cela y ressemble fort, et je commence à savoir les différencier.
Dans mon autre blog, je me suis un peu lâché sur l'établissement qui nous héberge, et il me semble qu'il reflète assez bien l'état d'esprit de la population commerçante méditerranéenne.
Mais j'en saurai plus demain, et si la température continue de monter, je pourrais même me décider à faire trempette, pourquoi pas.
La ville possède de beaux édifices, un aéroport en centre ville, curieux...et une population hétéroclite, c'est le moins qu'on puisse dire. Derrière la façade se cache la misère, la violence et la méfiance. Beaucoup de policiers ici, et je ne pense pas que cela soit dû aux récents évènements venus de Toulouse qui ont abondemment défrayé la chronique. D'ailleurs, à ce propos, je ne ferai aucun commentaire, il y en a eu bien plus que nécessaire et c'est bien suffisant pour moi.
Et je ne veux pas en plus faire l'honneur de ma prose à un résidu de basse-fosse. Fin de parenthèse.
Pour revenir à Nice, je suis sûr que je m'y serais bien senti au début du vingtième siècle, lorsque les jolies femmes osaient à peine y montrer la finesse de leurs chevilles et que les vacanciers aisés venus du lointain Paris batifolaient sur le sable, harassés de leur long voyage en train à vapeur.
Demain, j'irai voir s'il n'existe pas un quelconque endroit plus propice à ma mansuétude d'esthète.
