Tout d'abord, il fait beau, pas trop chaud et la saison est calme.
Sur le port, on commence déjà les préparatifs pour le grand prix de F1 qui se tiendra le 24 mai prochain, si je ne m'abuse.
De nombreux chantiers animent la ville et leurs échos résonnent un peu partout...Je me suis mis au-dessus du port sur le rocher et les bruits viennent de loin. Mais on sent que c'est une cité assez calme en temps normal, ponctuée par des manifestations culturelles de très haut niveau, mais qui n'ont pas le retentissement des courses de Formule 1. La mélodie des pistons prend le pas sur celle des salles de concert..
Il serait intéressant de savoir quelle gamme de fréquences incite à porter qui une robe du soir Dior, qui un mini-short en cette cité.
Je suis d'ailleurs passé sur le tracé à plusieurs reprises, et on voit bien qu'on atteint ici le summum du mot pilotage. Il faut connaître les moindres courbes et les plus infimes réactions de sa machine pour réussir à passer où les autres voitures se meuvent tranquillement à 50 km/h le reste de l'année.
Mais passons, je ne serai pas là, ce jour-là, et je ne sais si c'est un bien ou un mal... Les débordements de la jet-set pendant ces évènements risqueraient de me dégoûter de toute envie d'être riche...Ce serait dommage, non?
Alors, la Normandie profonde qui m’accueillera à cette période sera certainement plus concordante avec mon état d'esprit.
Revenons à nos baleines...
Salles des squelettes. |
Je les présente? |
Un restaurant gastronomique jouxte l'endroit. Entre les deux, le musée, avec ses trophées, ses scaphandres, maquettes et squelettes gigantesques.
Livres: Je viens de finir "Les fourmis de Dieu", de Pierre Duhamel. Histoire contemporaine de la construction de la cathédrale de Bourges, ouvrage passionnant sur l'histoire de cette période, politique, culturelle et sentimentale. Je l'avais commencé il y a longtemps, mis de côté car j'en ai lu d'autres...