Il faut le surveiller comme le lait sur le feu et nos voisins le savent. La guerre froide a changé de visage, mais on garde les bonnes habitudes. Quand j'entends Hollande se dire outré par les méthodes des USA, il faudrait peut-être qu'il se penche sur l'histoire du monde. Ce n'est pas parce qu'on est amis sur le plan international qu'il faut se faire aveuglément confiance.
En plus, à la place d'Obama, voyant arriver un président de gauche sans aucune expérience du pouvoir, aidé par des collaborateurs pas plus expérimentés que lui, à part un ou deux, je me ferais du souci également.
En plus, à la place d'Obama, voyant arriver un président de gauche sans aucune expérience du pouvoir, aidé par des collaborateurs pas plus expérimentés que lui, à part un ou deux, je me ferais du souci également.
Un pays où des islamistes forcenés assassinent à tour de bras les militaires se doit d'être espionné. Du village de campagne aux grandes tours des cités, des universités aux multinationales, tout le monde espionne son voisin, arrêtons de faire l'innocent.
C'est de bonne guerre et soyons plutôt flattés de faire l'objet de tant de sollicitude, c'est un signe de reconnaissance de notre valeur.
Le président croit encore que la politique mondiale est un jeu de société où tout le monde se fait des câlins....Ah! Ah! Ah! Je pouffe, je ris, je me gausse de tant de naïveté apparente, mais en est-ce vraiment?.
Je me demande s'il croit lui-même les mots qu'il prononce quand il commente les évènements en Égypte, les relations avec la Tunisie ou quand il se fend d'une décision sur le survol du territoire français par l'avion du président bolivien.
C'est un politicien de l'ancien régime, à la sauce Mitterrand, avec une langue de bois en ébène, digne de la IIIème République.
Bien roublard, hypocrite et biaiseux, il fait ses magouilles en sous-main, et je le soupçonne de favoriser les attaques contre l'ancien président par la magistrature pour qui l'adage "la vengeance est un plat qui se mange froid" est appliqué.
Entre les affaires de Karachi, Bettencourt, Tapie et maintenant les comptes de campagne, l'ancien président subit des attaques dont l'acharnement a du mal à paraître fortuit.
C'est de bonne guerre et soyons plutôt flattés de faire l'objet de tant de sollicitude, c'est un signe de reconnaissance de notre valeur.
Le président croit encore que la politique mondiale est un jeu de société où tout le monde se fait des câlins....Ah! Ah! Ah! Je pouffe, je ris, je me gausse de tant de naïveté apparente, mais en est-ce vraiment?.
Je me demande s'il croit lui-même les mots qu'il prononce quand il commente les évènements en Égypte, les relations avec la Tunisie ou quand il se fend d'une décision sur le survol du territoire français par l'avion du président bolivien.
C'est un politicien de l'ancien régime, à la sauce Mitterrand, avec une langue de bois en ébène, digne de la IIIème République.
Bien roublard, hypocrite et biaiseux, il fait ses magouilles en sous-main, et je le soupçonne de favoriser les attaques contre l'ancien président par la magistrature pour qui l'adage "la vengeance est un plat qui se mange froid" est appliqué.
Entre les affaires de Karachi, Bettencourt, Tapie et maintenant les comptes de campagne, l'ancien président subit des attaques dont l'acharnement a du mal à paraître fortuit.