11 juin 2016

Belgrade, ville européenne.

J'ai eu du mal à venir, les inondations m'ont obligé à retarder mon voyage, tellement le risque de submersion était élevé. Mais par un coup de chance quasiment "miraculeux", l'eau s'est arrêtée de monter arrivée à fleur de gazon. Le niveau de 4, 84m au barrage de Corbeil est donc le maximum pour notre rue. La zone inondable est bien là et je vais faire des travaux pour que je n'ai plus à trembler pour mes biens et aussi pour ne pas les déménager à l'étage à chaque sursaut de la Seine.
Il y a des systèmes très efficaces faits de bardage démontables qui pourront sécuriser le plain-pied. Fin de la parenthèse.
Elle n'en fait pas encore partie, mais mériterait de l'être, contrairement à la Turquie, dont la candidature, d'ailleurs, ne fait plus l'actualité, me semble-t-il...
Je ne suis pas dépaysé, ni surpris par les us et coutumes de ce pays, qui s'est mis à la page très vite, si j'en juge par les centres commerciaux et leur attractivité vis-à-vis de la jeunesse que j'y ai croisée.
Les chantiers pullulent et même le ministère de la guerre, bombardé en 1991 et laissé en l'état depuis lors, est en travaux.
Ils ont l'air de tenir à leur identité, ce que j'approuve totalement, car la population semble très homogène et en presque totalité de type caucasien. Ce qui fait qu'on y croise autant de jolies filles... Les hommes, par contre, semblent tous sortis du film "Taken", avec leur profil de videurs de boîte de nuit ou de militaires. Mais très sympas, d'ailleurs, je n'ai eu aucun souci avec eux... C'est curieux, cette différence.
Sinon, la population n'a pas l'air malheureuse (et pourquoi le serait-elle, d'ailleurs ?), même si le pouvoir d'achat et les salaires semblent au ras des pâquerettes. Comme quoi, souvent, ce sont ceux qui gagnent le moins qui se débrouillent le mieux. On commence à réapprendre ceci en France, la débrouille et l'autofinancement sont les mamelles de la survie. C'est pour cela que je suis allé voir  un marché aux puces chinois, semblant tout droit sorti du continent asiatique, dans une cité à proximité...De très nombreux immeubles d'une douzaine d'étages, une population qui se moque du repos dominical ou qui n'a pas les moyens d'en profiter, plutôt. Tous les magasins et centres commerciaux sont ouverts. Beaucoup de voitures, mais encore plus de tramways cacochymes et de bus, pleins à craquer à toute heure.




Le mois de juin voit sortir les filles superbes qui peuplent ce pays. Je ne suis pas là pour ça, mais pourquoi ne pas se faire la réflexion que ce que je vois de leurs toilettes ici, les femmes françaises ou plutôt les jeunes filles hésitent à les porter ? La régression que vit notre pays par l'afflux incessant de population subsaharienne a modifié les comportements. La montée de l'Islam radical qui nous amène aux frontières de l'intolérance est une hérésie.  La route des migrants passe par ici pourtant. Mais ils ne s'attardent pas, il n'y a rien à gagner. Et les débordements leur coûteraient la vie, car ici, on respecte la personne.

Omaha beach, plage meurtrière

Parmi les plages du débarquement, Omaha, où ce sont les américains qui reçurent le privilège d'y débarquer, possèdent des falaises q...