Quand je dis minorités, c'est tout à fait relatif, vu l'augmentation exponentielle de la population d'origine sub-saharienne, antillaise, pour tout dire extra-européenne , dans notre pays.
Mais comme c'est interdit de faire des statistiques de ce genre, l'hypocrisie est totale.
C'est ce que doit se dire Mme Taubira, après ses déclarations et l'orage médiatique que cela a provoqué... Pourquoi ne démissionne-t-elle pas et pourquoi Hollande ne la vire pas?
C'est simple, pourtant. Pendant qu'on s'agite et qu'on vitupère contre elle, on le laisse tranquille.
Un bouc émissaire, cela s'appelle...
Même critiquée et villipendée, elle a encore des responsabilités et du pouvoir, elle peut donc faire des réformes. Et puis, elle obéit quand même au "chef".
Hollande a tout compris, mettre des gens à peine compétents pour faire diverger les attaques, et surtout se taire quand la politique gouvernementale est bousculée...Qui l'a entendu lors des régionales?
Manuel Valls a fini par laisser tomber son appui à madame Taubira, qu'il n'a d'ailleurs jamais voulue dans son gouvernement, mais comme on dit dans mon entreprise(ou plutôt, c'est ce qui devrait se dire), la solidarité fait le ciment de la réussite. Donc, officiellement, il la soutenait.
Maintenant, quand une ministre qui déclare à une télévision étrangère que la déchéance de nationalité ne sera pas appliquée, et que le lendemain, de retour au "pays"(est-ce vraiment le sien, vu son parcours de jeunesse?), elle est désignée pour défendre ce même projet, on se demande si nos dirigeants n'ont pas une araignée dans le plafond. Donc, à suivre...
23 janvier 2016
12 janvier 2016
Hécatombe artistique
Hier, David Bowie nous laissait l'héritage de son oeuvre, immense et variée. Ce fut une surprise deux jours après la sortie de son album anniversaire....
La semaine dernière disparaissait Michel Galabru, qui lui aussi, ne nous abandonna qu'après une longue carrière, riche et prolifique.
Il y eut le grand chef d'orchestre Pierre Boulez, célèbre même parmi les néophytes.
Et enfin, Michel Delpech, chanteur populaire que je respecte, mais qui ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable, à mettre dans les mêmes bals de province et émissions télés que Lenormand ou Marcel Amont...
Plus l'on vieillit, plus nos contemporains s'éteignent les uns après les autres, et si certains nous paraissent immortels, la mort nous rappelle qu'elle a toujours le dernier mot.
Mais pour certains, la tristesse laisse le pas à la reconnaissance, celle du plaisir que nous a procurée leur talent, leur humour, et les satisfactions qu'ils nous ont procurées.
Ces personnages ne disparaissent pas vraiment, heureusement. Depuis des siècles, nous avons l'honneur de pouvoir entendre et lire des oeuvres éternelles. Depuis la moitié du dix-neuvième siècle, les images se joignent à ces souvenirs.
D'autres évènements se sont produits, qu'on aimerait oublier, mais il ne vaut mieux pas se laisser aller à cette facilité de peur de les voir se reproduire, ce qui arrive inéluctablement, de toute manière.
Je remercie donc tous ces artistes qui ne font que passer, comme nous tous, et leur souhaite un repos paisible et éternel.
La semaine dernière disparaissait Michel Galabru, qui lui aussi, ne nous abandonna qu'après une longue carrière, riche et prolifique.
Il y eut le grand chef d'orchestre Pierre Boulez, célèbre même parmi les néophytes.
Et enfin, Michel Delpech, chanteur populaire que je respecte, mais qui ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable, à mettre dans les mêmes bals de province et émissions télés que Lenormand ou Marcel Amont...
Plus l'on vieillit, plus nos contemporains s'éteignent les uns après les autres, et si certains nous paraissent immortels, la mort nous rappelle qu'elle a toujours le dernier mot.
Mais pour certains, la tristesse laisse le pas à la reconnaissance, celle du plaisir que nous a procurée leur talent, leur humour, et les satisfactions qu'ils nous ont procurées.
Ces personnages ne disparaissent pas vraiment, heureusement. Depuis des siècles, nous avons l'honneur de pouvoir entendre et lire des oeuvres éternelles. Depuis la moitié du dix-neuvième siècle, les images se joignent à ces souvenirs.
D'autres évènements se sont produits, qu'on aimerait oublier, mais il ne vaut mieux pas se laisser aller à cette facilité de peur de les voir se reproduire, ce qui arrive inéluctablement, de toute manière.
Je remercie donc tous ces artistes qui ne font que passer, comme nous tous, et leur souhaite un repos paisible et éternel.
6 janvier 2016
Narbonne, à l'abri des soucis, pas du vent...
Je recommence l'année à Narbonne, et nous allons rester dans le sud et le sud-ouest quelques semaines...
Le temps est frais mais pas tellement pour un mois de janvier (il faut parler de la météo quand on a rien à dire, le temps que la machine à penser se remette en route), mais comme souvent ici, le vent rafraîchit considérablement le ressenti.
Cette vieille ville médiévale est agréable à parcourir et son marché couvert donne envie de s'y attarder.
J'ai aimé la cathédrale, du moins ce qu'il en reste, car elle a eu son heure de gloire et ses vestiges en témoignent. Ici aussi, la révolution a laissé ses marques, pas plus glorieuses que les dégradations de Daesch au moyen-Orient maintenant.
Le temps est frais mais pas tellement pour un mois de janvier (il faut parler de la météo quand on a rien à dire, le temps que la machine à penser se remette en route), mais comme souvent ici, le vent rafraîchit considérablement le ressenti.
Cette vieille ville médiévale est agréable à parcourir et son marché couvert donne envie de s'y attarder.
J'ai aimé la cathédrale, du moins ce qu'il en reste, car elle a eu son heure de gloire et ses vestiges en témoignent. Ici aussi, la révolution a laissé ses marques, pas plus glorieuses que les dégradations de Daesch au moyen-Orient maintenant.
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